Par Jeveutout : (30/04/2014) je viens de finir (sans tricher) Les Magiciens du fer. et je suis heureux. pourtant, je n'étais pas parti sur une bonne impression. on passe du paragraphe 1 au 8, et j'ai eu peur d'avoir entre les mains un livre aux nombres de sections (415) gonflée artificiellement, ça c'est déjà vu. et bien, non, passée cette frayeur, j'ai découvert un livre agréablement illustré et une ambiance steampunk très sympatique. c'est un genre rare dans les ldvelh. Alors, certes, le livre n'est pas exempt de défaut, mais déjà j'applaudis l'exploit. dès leur premier ldvelh, Yuio et Cetrix proposent une jouabilité double : être un garçon ou une fille, et ce n'est pas un faux choix, croyez moi. j'ai choisi d'être un garçon, et j'en ai bavé, (la difficulté est abusée, même avec la solution que je propose). premier problème, jouer une fille signifie avoir un charisme elevé (genre moi je suis moche et j'ai le charisme d'un chacal, merci les gars) j'aurais aimé une réciprocité, que le garçon ai lui aussi un avantage particulier et qu'on me demande régulièrement, si mes points de virilité sont de 6 ou +, allez au xyz . techniquement, on retrouve le principe du plan numéroté et des rencontres aleatoires chère à Brennan. il y a quelques oublis de demi-tour et plus ennuyeux, d'utilisations d'objets trouvés, mais ils n'entravent pas la lecture et n'empêchent pas de finir le jeu. l'histoire en elle-même, trouver 30 charges de mana pour activer la protection magique ultime pour Paris (la Tour Eiffel, je l'ai toujours su !) est originale et permet de nous balader dans plusieurs lieux célèbres de la capitale, à la sauce Steampunk bien sûr. la fin du livre laisse supposer une suite... l'attente va être longue.

notes, anecdotes :