France_(sans logo) mai 1985 |
France_ (avec logo) septembre 1985-1991 |
France_ octobre 1996-99 |
France_ septembre 2004 |
autres
titres de cette série 1-Les Collines maléfiques 2-La Cité des pièges 3-Les Sept serpents 4-La Couronne des rois |
Angleterre 1984 |
Angleterre 2003 |
Espagne 1986 |
Espagne 2003 |
Allemagne 1986 |
Angleterre 1984 |
Japon 1985 |
Japon 2002 |
Tchécoslovaquie 1996 |
Italie 1990 |
Hongrie 1992 |
Brésil ??? |
Bulgarie 1995 |
Danemark 1989 |
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critique de Milos : second volume de la saga sorcellerie, la cité des pièges, du même auteur Steve Jackson, nous envoie visiter le peu recommandable port de Kharé. suite à la traversée des collines de Shamutanti, Kharé est la seconde étape du voyage qui nous emmène jusqu'à la forteresse de Mampang. l'exploration de la ville est loin d'être aisée, à peine entré nous apprenons que le portail opposé est contrôlé par une formule magique composée de quatre vers. quatre personnages éminents en connaissent chacun un, le but est donc de les retrouver et les faire parler.. les décors de la cité sont très bien décrits et les lieux sont variés (échoppes de marchands, temples, salle de jeu...). Kharé est une ville immense et est divisée en quartiers bien distincts (humains, aristocrates, nains, yeux rouges..), le background est bien fouillé et l'ambiance urbaine bien dégagée par les illustrations de John Blanche que l'on retrouve en collaboration avec l'auteur. Kharé est également la cité du vice : la drogue, le meurtre, le vol et la corruption sont monnaie courante. les personnages éminents ne sont autres qu' un prêtre, un érudit, un mort vivant et un mendiant. outre ces rencontres indispensables, nous pourrons converser avec les nombreux marchands et artisans qui peuplent la ville. il est également possible de revoir tous les contacts précédemment établis dans les collines afin de faciliter son exploration. nous n'avons pas encore parlé des combats, ils sont peu nombreux et relativement aisés, attention tout de même à ne pas se mettre dans des situations difficiles.. le bestiaire étant quasiment alimenté que par les assassins et autres personnages peu fréquentables qui hantent le port. d'une difficulté relativement élevée due à l'exploration lente et méthodique de l'enceinte, l'ouvrage possède une bonne durée de vie et exige l'emploi d'une carte pour ne pas se perdre. en résumé, une aventure en milieu urbain qui tient toutes ses promesses, la cité des pièges porte bien son nom et représente un challenge bien plus relevé que son prédécesseur, l'ambiance est particulièrement présente. seul bémol : les bourrins ne seront pas servis.. Note : 8 Difficulté : 8 |
critique de Fitz : Toute l'action de ce livre se déroule entre les murs de Kharé, une cité représentant l'ultime bastion de la civilisation avant les étendues sauvages des Terres de Fin Fond. Cependant, "civilisation" est un terme bien trop fort pour être appliqué au nid de scorpions qu'est Kharé. Cette ville a pour surnom "la cité des pièges" car ses habitants ont truffé leurs demeures et leurs rues de mécanismes ou de trappes destinés à décourager les voleurs, fort nombreux dans cette métropole mal famée. En plus d'être fort encline à la filouterie, la population de Kharé se révèle particulièrement bigarrée ; l'espèce humaine est largement minoritaire et doit s'acommoder de la présence de nains, gnomes, lutins, svinns, orques, elfes noirs et j'en passe... L'unique objectif de ce livre est de traverser la ville et d'en sortir par la porte nord pour atteindre les Terres de Fin Fond. Il faut donc échapper aux pièges et aux dangereuses créatures qui peuplent cette cité. On se dit alors que le mieux est de filer au plus vite sans se mêler à la population locale ni en se montrant trop curieux. Mais non, ce n'est pas la bonne tactique. Un poème magique divisé en quatre strophes est en effet nécessaire pour ouvrir la porte nord. Malheureusement, chaque strophe n'est connue que d'un seul habitant de la cité et l'on est donc obligé de se livrer à une enquête en règle pour recomposer le fameux poème. De fait, nous voilà forcé de frapper à la porte de chaque demeure pour recueillir des renseignements, quitte à se faire détrousser, agresser ou occire par les charmants autochtones. Recomposer le poème dès la première tentative se révèle fort ardu. Par bonheur, il est possible de recommencer au départ si l'on se retrouve bloqué devant la porte nord sans avoir résolu l'énigme. Pour ma part, je ne suis jamais mort mais ai du traverser trois fois la cité pour recueillir tous les morceaux du poème. Les combats ne sont donc pas trop difficiles. Les pièges sont nombreux mais avec de la prudence (et de la chance), il est possible d'éviter les plus mortels. L'enquête est très intéressante. La visite de Kharé donne lieu à une multitude de rencontres hautes en couleur et semblables à ce que l'on peut attendre d'une si vaste ville (foire aux nombreux spectacles, chalands, escrocs, maison de jeux, auberge animée...) ainsi qu'à d'autres rencontres plus singulières et marquantes (la mante humaine, la statue de Courga, les égouts...). Comme les chemins proposés sont nombreux et fort différents, on ne se lasse pas d'arpenter les ruelles sales et malodorantes de Kharé. C'est pour moi la meilleure aventure urbaine proposée par les LDVELH et mon tome préféré de la série Sorcellerie! |
critique de Segna : (n'
hésitez pas à visiter son site) Avec La Cité des Pièges, on attaque les choses sérieuses. Le titre est suffisamment explicite, cette ville est trompeuse, très trompeuse. L'aventurier doit la traverser pour poursuivre son voyage. Seulement voilà, contrairement au premier livre, Les Collines Maléfiques, il n'est pas question ici de se contenter d'avancer dans la ville pour arriver victorieux à l'autre bout. On apprend très vite qu'il faut rassembler les quatre vers d'un poème magique pour ouvrir la Grande Porte du Nord. Steve Jackson nous a concocté là un petit bijou. Le challenge est relevé, même si, avec les bonus du premier livre, tous les quartiers peuvent être visités. Tous les combats difficiles peuvent être évités si vos caractéristiques sont trop faibles et aucun jet de dé victorieux n'est nécessaire pour gagner. Un livre à explorer, non seulement pour réunir les vers du poème, mais aussi parce que nombreux sont les objets éparpillés dans la cité qui pourront se révéler précieux, y compris dans les volumes suivants. De plus, l'ambiance est vraiment prenante. Intérêt du scénario : (guerrier 40%) (mage 100%) Influence du hasard liée au personnage : (guerrier 44%) (mage 31%) :Influence du hasard dans l'aventure : 0% Difficulté du parcours : (guerrier 25%) (mage 24%) Variété du parcours : (guerrier 54%) (mage 75%) Note du livre : (guerrier 65%) (mage 84%) |
critique de Aragorn : La Cité des Pièges est la suite directe de Les Collines maléfiques ; néanmoins il n'est pas obligatoire d'avoir parcouru les collines de Shamutanti pour tenter de traverser Kharé. La Cité des Pièges commence là ou le livre précèdent s'était arrêté : c'est à dire devant la porte Sud de Kharé. A peine entré vous êtes jeté en prison ou vous apprenez que vous allez devoir trouver les 4 vers d'une formule magique qui permet d'ouvrir la porte Nord de la ville et qui est donc indispensable pour entrer dans les terres des Fins-Fonds. Donc fini de se promener à sa guise en chantonnant comme dans le premier tome. La Cité des Pièges est nettement plus difficile que son prédécesseur car il vous faut suivre un chemin assez précis et certains lieux sont obligatoires (l'église ou le cimetière). Cependant l'aventure n'en est pas moins captivante et est plus facile si vous avez trouvez les précieux bonus du tome 1. Vous trouverez également un anneau qui vous sera d'une grande utilité dans les 2 livres suivants (je ne vous en dit pas plus). Et ne vous réjouissez pas trop vite : même si vous arrivez devant la porte Nord en connaissant les 4 vers, vous devrez affronter un dernier obstacle, plutôt facile je l'admets, mais qui peut vous coûtez la vie. Steve Jackson signe là un excellent livre mais qui n'est pas, selon, moi le meilleur de la série. Note : 8/10 Difficulté : 7/10 (il m'a fallu 3 tentatives pour le réussir) |
critique de Sombrecoeur : A la suite de notre petite promenade dans Les Collines (semi) maléfiques, notre héros se trouve devant les portes de Kharé, aussi appelée "La Cité des Pièges", sa prochaine étape. Si on devrait désigner un livre qui porte bien son titre, on choisirait la Cité des Pièges. La ville de Kharé est dangereuse, et ça se ressent dès le début du livre. Tout est malsain, glauque, peut acceuillant, et même si certains lieux peuvent être d'un quelconque réconfort, ces derniers se font un peu trop rare... Mais bon, d'un côté, tant mieux! Après un premier tome gentillet, on voulait une aventure un peu plus corsée, et avec "La Cité des Pièges", nous y avons le droit. Je le trouve bien, mais c'est tout de même celui que j'aime le moins. Déjà de un car il n'y a pas beaucoup d'action, vu que je suis un combattant dans l'âme, cela peut paraître comme un problème majeur. De deux, c'est que l'action se passe seulement dans une ville. J'apprécie, mais je préfère quand c'est un peu plus varié. Ce livre est plus long que le premier, et est non linéaire (comme Les Collines maléfiques) il y a un vaste choix de destinations, et bonne chose, quelques unes d'entre elles peuvent mener aux bons endroits pour trouver les différents vers du poême. Il est également assez difficile, trouver les 4 formules n'est pas toujours évident, d'autant plus que, comme je l'ai dit, bons nombres de chemins vous seront offerts. car ce n'est pas toujours évident de trouver les 4 formules car il y a beaucoup de chemins différents. Par contre, j'ai été un peu déçu par la ville au niveau de ses combats. Oui, je sais, je ne pense qu'à ça, mais les combats représentent quand même l'un des dangers les plus permanents des livres-jeux, surtout dans des villes maléfiques comme celle de Kharé. Au niveau des meilleurs moments, je n'en ai trouvés que quelques uns, à vrai dire elles ne sont pas légions. La découverte du vieil homme dans le caniveau, la rencontre avec le mendiant. Cependant, c'est dans ce livre où se trouvel a meilleure scène des 4 livres de la séries confondus. Je parle du passage se passant dans la crypte avec le spectre qui est vraiment palpitant et qui fait réellement froid dans le dos! De plus, l'illustration colle parfaitement, et renforce encore plus la noirceur. Je parle des illustrations, et bien que je ne sois pas un fan de John Blanche, je trouve que ses illustrations correspondent bien à la série Sorcellerie!, du moins pour la Cité des Pièges et La couronne des rois, à cause de leur aspect un peu glauque et sale. Je trouve également qu'elles vont moins bien pour Les Collines maléfiques et pour Les Sept serpents. Je vais terminer cette critique par une note positive, le fait de rencontrer des personnages (enfin un) des Collines maléfiques accentue la bonne continuité de la série. En résumé, un bon livre, mais qui est néanmoins le moins bon de la série, car je préfère plus les espaces "aérés" que "renfermés" j'aime quand les lieux à visiter sont plus varier. Je ne dis pas que le lecteur se lasse de passer une histoire entière dans une ville, loin de là car Jackson est un bon écrivain, mais le changement ne fait pas de mal. En tout cas, c'est mon avis. La Cité des Pièges est un livre plus long et plus difficile que son grand frère, mais j'aurai souhaité un peu plus d'action pour une ville de ce calibre (du genre le Port du Sable-Noir dans "La cité des voleurs" c'est ce qui se rapproche plus, dans ma tête, d'une ville glauque et violente. A noter que ce tome possède la meilleure scène de la série (voir ci-dessus) Ma note: 7.5/10 Difficulté: 8/10 |
-Le Sanctuaire de la salamandre (Shrine of
the salamander) est une aventure amateur de 200 sections,
écrit par Andrew Wright,
et traduit par Salla, autopublié en ???, qui prend place dans le vieux monde et est trés proche de la série Sorcellerie, notamment par l'utilisation de sa magie. -The Race from Earth end est une aventure amateur de 150 sections, écrit par Olivier Whawell, qui se situe entre La Cité des pièges et Les Sept Serpents . elle se déroule après le paragraphe 179 de La Cité des pièges . Vous avez maintenant une chance d'échapper à une vie d'esclave galérien et de faire un voyage alternatif dans les Baklands. Il y a plusieurs chemins à travers le livre qui vous méneront vers divers lieux des Sept Serpents ... -la première édition est étrange...la tranche n'a pas de logo, alors que sur la couverture il est présent. -le résumé du dos des livres est le même dans les trois premiers volumes. -les formules magiques de la réédition anglaise sont toutes illustrées |
publicité anglaise, parue dans Warlock 3 |