titre :
Le Dieu perdu |
auteur
: Dave Morris
et Oliver Johnson |
dédicace de Dave Morris |
titre
original : The Temple of flame
traducteur
: Patrick Floersheim |
editeur
/collection : Gallimard
Folio Junior n 317
dragon d'or n 2
pour
la vo :
(Granada/ golden dragon fantasy gamebooks n 2) |
illustrateur
couverture : Bruno
Elettori
illustrateur
intérieur : Léo
Hartas
( vf 26 /
28
vo)
-par rapport à la vo, il nous manque les illustrations suivantes
: fin de
l'intro, 295
|
code
barre :
édition de 1985-1991
: 9782070333172
édition de 2000-2005
: 9782070544059
isbn
:
édition de 1985-1991
: : 2 07 033317 5
édition de 2000-2005
: 2 07 054405 2 |
régles
du jeu : oui
|
nombre
de sections : 300
|
cote
(édition de 1985-1991)
:
-vendu 4 € le 21/05/14 sur Ebay
-vendu 1 € le 16/12/13 sur Ebay
-vendu 1 € le 8/12/13 sur Ebay
-vendu 1,50 € le 15/12/13
sur Ebay
-vendu 2,50 € le 10/11/13
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-vendu 1,50 € le 1/11/13
sur Ebay
-vendu 2 € le 29/10/13
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-vendu 2,50 € le 13/10/13
sur Ebay
-vendu 2 € le 18/06/08
sur
Ebay
-vendu 2,50 €
le 21/05/06 sur Ebay
-vendu 1 € le 16/05/06 sur Ebay
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-vendu 1,99 € le 09/03/06 sur Ebay
|
errata
:
-paragraphe 48, "
lancez deux dés et augmentez de points le total..." entre "de"
et "points", rajouter "1"
|
VOTRE critique :
n'hesitez pas à
m'envoyer votre avis sur le livre, je l'ajouterais au site avec
plaisir, avec votre nom, prénom ou pseudo.
mais attention à
ne pas trop dévoiler l'histoire ! |
|
résumé
:
Dans la pyramide où, jadis, l'on adorait le dieu Katak, un jeu
mortel vous oppose à votre pire ennemi : Domontor, le savant
fou. A travers les galeries inquiétantes de silence, les salles
gardées par des pièges diaboliques où nul n'a
pénétré depuis des siècles, vous vous
livrez tous deux à un cauchemardesque jeu de cache-cache,
à la recherche de l'idole d'or du dieu perdu. Il vous faudra
beaucoup d'habileté, d'audace et de chance, pour déjouer
les traquenards qui vous seront tendus, et vaincre les êtres
monstrueux qui se dresseront sur votre route avant, peut-être
d'affronter Domontor.
Deux dés, un crayon
et une gomme
sont les seuls accessoires dont vous aurez besoin pour vivre cette
aventure.VOUS seul déciderez de la route à suivre, des
risques à courir et des créatures à combattre.
Bonne chance...
|
critique
de Milos :
( cliquer sur le
dé pour lire la suite) :
Second volume de la série « Dragon d’or », le
« Dieu perdu » nous emmène dans le monde
étrange et fascinant des Aztèques. Cette fois, l’auteur Dave Morris a eu la bonne
idée de
s’entourer d’ Oliver Johnson
afin de
nous servir un savant cocktail d’intrigues et d’action, le tout sur
fond de chasse à l’homme.
On y incarne un chevalier de
la garde impériale, archéologue à ses heures, fou
de vengeance après la trahison d’un de ses anciens partenaires
qui a couté la vie à toute l’équipe. Le hasard va
bien sûr nous remettre le long de sa route dont la destination
n’est autre que la pyramide de Katak : jalouse de ses secrets et
détentrice de l’idole de la divinité, le rêve
ultime de tout pillard.
L’aventure commence dans la jungle entourant la pyramide et se termine
donc dans ses entrailles. Le récit est fluide,
caractéristique de la série, et les décors aussi
variés que possible. Les amateurs de grands espaces regretteront
peut-être cet aspect répétitif, d’autant que la
partie dans la jungle aurait pu être approfondie, mais ils
devraient reconnaître en revanche le soin apporté aux
illustrations de Léo Hartas
, bien plus inspiré dans cet ouvrage.
Autre petite faiblesse de la quête : l’absence de PNJ. Remarque,
dans une pyramide oubliée depuis des siècles, il ne
fallait pas s’attendre à voir foule, mais dans le cas
présent l’auteur s’est quelque peu rattrapé en
intégrant Domontor le sorcier fou, notre rival, et ses
sous-fifres ainsi qu’un partenaire inattendu : un petit singe (Ouisti)
qui apporte une petite touche de fraicheur.
Les combats sont bien dosés mais souffrent toujours de ce
système de jeu qui n’a vraiment pas mon adhésion. De plus
la plupart ne servent à rien et mis à part certains,
obligatoires, on trouvera plutôt notre salut dans la fuite, pas
terrible pour un chevalier. Attention aux duels, tout à fait
inutiles en passant, qui nous opposent à des ennemis bien trop
forts. Le bestiaire n’a rien de folklorique, on retrouve notre lot de
mort-vivants (gardiens des cauchemars) et de gardiens exotiques
(serpents de pierre, dragons, golems..) comme toute catacombe qui se
respecte. Le duel final contre Domontor est assez délicat
à négocier surtout si la chance n’aide pas.
La série Dragon d’or nous a habituée à de nombreux
itinéraires, la durée de vie n’en ai que plus grande, et
le Dieu perdu ne déroge pas à la règle, en
revanche certains objets (la conque et la perle noire pour ne pas les
citer..) sont quasi-obligatoires pour poursuivre et pas toujours facile
à obtenir. Nous l’aurons compris, la difficulté est de
mise et autrement plus relevée que dans le
précédent opus. Cet aspect est parfaitement
illustré sur des tests de psy ou habileté quasi
impossibles à réussir.
La traque par contre est une grosse réussite : on prend vraiment
plaisir à suivre notre proie qui nous permet en plus
d’éviter bon nombre de monstres et de pièges mortels.
En résumé, nous retrouvons une pyramide bourrée de
secrets, un dangereux sorcier à éliminer, une exploration
haletante bien mise en œuvre par une description précise et une
foule de défis à relever… dommage que l’ensemble
pèche par sa difficulté mal dosée et ses jets de
dés hasardeux, l’ouvrage n’en serait sorti que meilleur.
Note : 7 ,5 (73%)
Difficulté : 7 (73%)
par Milos
|
critique
de Sombrecoeur :
( cliquer sur le
dé pour lire la suite) :
Après un
très très bon livre qui se voulait glauque, et qui se
déroulait dans un lugubre Château, Dave Morris (accompagné Oliver Johnson) nous fait
visiter cette
fois-ci une jungle, puis les profondeurs obscurs d'un Temple
oublié, lieu du Dieu des Flammes Katak. Continuant dans la
même lignée que Le Tombeau du
vampire, Morris nous
gratifie d'une très bonne histoire (toujours en partant d'une
trame conventionnelle) et c'est avec un réel plaisir que nous
suivons cette histoire avec intérêt. La façon
d'écrire est toujours aussi bonne, et la narration suit
parfaitement (j'entends par-là qu'aucune incohérence se
glisse dans le texte) En bref, Morris
sait raconter une histoire, ceci est certain.
Même s'il y a
moins
de passages prenants que dans le premier livre, plusieurs scènes
viendront titiller votre imagination. La meilleure est sans
hésiter vers la fin du livre, où une barque,
dirigée par un être encapuchonné, apparaît
pour vous transporter de l'autre côté de la rive
d'où vous vous tenez. Et l'image qui va avec est enchantant…
Comme la plupart des autres illustrations, qui aident grandement
à l'ambiance générale du livre (d'autres
scènes reviennent en mémoire, comme par exemple la salle
d'eau avec la statue, le début dans la jungle, plus d'autres
passages que je ne puis vous raconter, de peur de vous faire choisir le
mauvais choix. Je me comprends en disant ça) Ambiance tout aussi
prenante que celle du Tombeau du Vampire.
C'est sans problème qu'on s'immerge dans les sombres
dédales. Morris s'en
sort
plutôt bien, et même si une grande majorité de
l'aventure se déroule à l'intérieur, le sentiment
de lassitude n'atteint jamais le lecteur. Nous avons le droit à
nos lots de salles, de pièges, et de monstres. Et en plus de
ça, il arrive parfois de rencontrer l'ennemi du livre, l'un de
nos anciens camarades qui nous avait trahis lors d'une
précédente mission. Il nous enverra à maintes
reprises ses sbires, que nous devrons tuer propre en ordre. On ressent
un peu plus le danger qui nous entoure, mais nous sommes encore loin de
la dangerosité de la Légende de
Zagor ou du Crépuscule des Maîtres.
La trame est moins linéaire que le premier opus, mais les
chemins nous mèneront toujours à la même place. Au
niveau de la difficulté, celle-ci est plus élevée,
non seulement parce que les combats sont plus nombreux, mais il vous
faudra avoir des objets bien définis, et suivre le bon chemin,
si vous voulez avoir des chances d'arriver à la fin. Et je suis
prêt à parier que, pour ceux qui commenceraient cette
aventure, échoueront la première fois à coup
sûr. Juste avant, je parlais de la fin, et contrairement au Tombeau du Vampire, cette fois-ci, le combat
final tient un peu plus ses promesses. Domonotor, votre allié
déchu, vous donnera, au début, du fil à retordre,
et il y aura de fortes chances que vous y laissiez la vie. La
durée de vie est un peu plus longue que le premier, mais reste
quand même un peut trop court (bon, il ne faut pas oublier que le
livre se tient sur seulement 300 paragraphes!)
En résumé, un très bon livre dans la
continuité du premier tome, et même s'il est un peu en
dessous du premier au niveau du contenu (il y a moins de passages
mémorables, plus difficile car il faut trouver les bons objets
et le bon chemin) le Dieu Perdu reste un très bon tome, qui vous
ravira sans problème (bien mieux qu'une partie des Défis
Fantastiques) L'ambiance est toujours présente, renforcée
par de bonnes illustrations. Mais attention, les combats sont plus
nombreux, et si vous ne mettez pas la main sur le seul moyen de vous
guérir, il y a peu de chance pour que vous en sortiez vivants.
Ma note: 8/10
Difficulté: 8/10
par Sombrecoeur
|
notes :
( cliquer sur le
dé pour tout voir) :
-les trois premiers volumes contiennent une pub pour la magazines Piranha, au centre (dans la
première édition)
-au
japon, le volume 3 est paru en deuxième, et le volume 2 en
troisième. |
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