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INEDITS

Le Dieu perdu


France_octobre 1985-91

France_novembre 2000-05
autres titres de cette série :

1 -Le Tombeau du vampire

2 -Le Dieu perdu

3 -Le Seigneur de l'ombre

4 -La Malédiction du pharaon

5 -Le Château des âmes damnées

6 -L'Oeil du dragon

Angleterre 1984

Amérique 1986

Espagne 1986

Italie 1993

coffret anglais contenant les volumes 1, 2, 3 et 6

Japon 1986
Danemark 1986
titre :  Le Dieu perdu
auteur : Dave Morris  et Oliver Johnson
dédicace de Dave Morris
titre original : The Temple of flame
traducteur : Patrick Floersheim
editeur /collection : Gallimard
Folio Junior n 317
dragon d'or n 2

pour la vo :
(Granada/ golden dragon fantasy gamebooks n 2)
illustrateur couverture :  Bruno Elettori
illustrateur intérieur : Léo Hartas
( vf 26  / 28 vo)

-par rapport à la vo, il nous manque les illustrations suivantes : fin de l'intro, 295
code barre :
édition de 1985-1991 :   9782070333172
édition de 2000-2005 :  9782070544059
isbn :
édition de 1985-1991 : :   2 07 033317 5
édition de 2000-2005 :  2 07 054405 2
régles du jeu : oui
nombre de sections : 300

cote (édition de 1985-1991) :
-vendu 4 € le 21/05/14 sur Ebay
-vendu 1 € le 16/12/13 sur Ebay
-vendu 1  €  le 8/12/13  sur Ebay
-vendu 1,50 € le 15/12/13 sur Ebay
-vendu 2,50 € le 10/11/13 sur Ebay
-vendu 1,50 € le 1/11/13 sur Ebay
-vendu 2 € le 29/10/13 sur Ebay
-vendu 2,50 € le 13/10/13 sur Ebay
-vendu 2  €  le 18/06/08  sur Ebay
-vendu 2,50  €  le 21/05/06   sur Ebay
-
vendu 1  €  le 16/05/06   sur Ebay
-
vendu 1,99  €  le 28/04/06  sur Ebay
-
vendu 1,99  €  le 09/03/06  sur Ebay

errata :
-paragraphe 48,  " lancez deux dés et augmentez de points le total..." entre "de" et "points", rajouter "1"

solution :
dossier :
-les éditions Gallimard 

questions à l'auteur  :

VOTRE critique :
n'hesitez pas à m'envoyer votre avis sur le livre, je l'ajouterais au site avec plaisir, avec votre nom, prénom ou pseudo.

mais attention à ne pas trop dévoiler l'histoire !

résumé :
Dans la pyramide où, jadis, l'on adorait le dieu Katak, un jeu mortel vous oppose à votre pire ennemi : Domontor, le savant fou. A travers les galeries inquiétantes de silence, les salles gardées par des pièges diaboliques où nul n'a pénétré depuis des siècles, vous vous livrez tous deux à un cauchemardesque jeu de cache-cache, à la recherche de l'idole d'or du dieu perdu. Il vous faudra beaucoup d'habileté, d'audace et de chance, pour déjouer les traquenards qui vous seront tendus, et vaincre les êtres monstrueux qui se dresseront sur votre route avant, peut-être d'affronter Domontor.
Deux dés, un crayon et une gomme sont les seuls accessoires dont vous aurez besoin pour vivre cette aventure.VOUS seul déciderez de la route à suivre, des risques à courir et des créatures à combattre.
Bonne chance...


et sur les autres sites ?
-critique en vf de Hazgard sur  La Bibliothèque des Aventuriers
-solution de Skarn  sur  La Bibliothèque des Aventuriers

critique de Milos :
  (cliquer sur le dé pour lire la suite) :
Second volume de la série « Dragon d’or », le « Dieu perdu » nous emmène dans le monde étrange et fascinant des Aztèques. Cette fois, l’auteur Dave Morris a eu la bonne idée de s’entourer d’Oliver Johnson afin de nous servir un savant cocktail d’intrigues et d’action, le tout sur fond de chasse à l’homme.

On y incarne un chevalier de la garde impériale, archéologue à ses heures, fou de vengeance après la trahison d’un de ses anciens partenaires qui a couté la vie à toute l’équipe. Le hasard va bien sûr nous remettre le long de sa route dont la destination n’est autre que la pyramide de Katak : jalouse de ses secrets et détentrice de l’idole de la divinité, le rêve ultime de tout pillard.

L’aventure commence dans la jungle entourant la pyramide et se termine donc dans ses entrailles. Le récit est fluide, caractéristique de la série, et les décors aussi variés que possible. Les amateurs de grands espaces regretteront peut-être cet aspect répétitif, d’autant que la partie dans la jungle aurait pu être approfondie, mais ils devraient reconnaître en revanche le soin apporté aux illustrations de Léo Hartas , bien plus inspiré dans cet ouvrage.

Autre petite faiblesse de la quête : l’absence de PNJ. Remarque, dans une pyramide oubliée depuis des siècles, il ne fallait pas s’attendre à voir foule, mais dans le cas présent l’auteur s’est quelque peu rattrapé en intégrant Domontor le sorcier fou, notre rival, et ses sous-fifres ainsi qu’un partenaire inattendu : un petit singe (Ouisti) qui apporte une petite touche de fraicheur.

Les combats sont bien dosés mais souffrent toujours de ce système de jeu qui n’a vraiment pas mon adhésion. De plus la plupart ne servent à rien et mis à part certains, obligatoires, on trouvera plutôt notre salut dans la fuite, pas terrible pour un chevalier. Attention aux duels, tout à fait inutiles en passant, qui nous opposent à des ennemis bien trop forts. Le bestiaire n’a rien de folklorique, on retrouve notre lot de mort-vivants (gardiens des cauchemars) et de gardiens exotiques (serpents de pierre, dragons, golems..) comme toute catacombe qui se respecte. Le duel final contre Domontor est assez délicat à négocier surtout si la chance n’aide pas.

La série Dragon d’or nous a habituée à de nombreux itinéraires, la durée de vie n’en ai que plus grande, et le Dieu perdu ne déroge pas à la règle, en revanche certains objets (la conque et la perle noire pour ne pas les citer..) sont quasi-obligatoires pour poursuivre et pas toujours facile à obtenir. Nous l’aurons compris, la difficulté est de mise et autrement plus relevée que dans le précédent opus. Cet aspect est parfaitement illustré sur des tests de psy ou habileté quasi impossibles à réussir.

La traque par contre est une grosse réussite : on prend vraiment plaisir à suivre notre proie qui nous permet en plus d’éviter bon nombre de monstres et de pièges mortels.

En résumé, nous retrouvons une pyramide bourrée de secrets, un dangereux sorcier à éliminer, une exploration haletante bien mise en œuvre par une description précise et une foule de défis à relever… dommage que l’ensemble pèche par sa difficulté mal dosée et ses jets de dés hasardeux, l’ouvrage n’en serait sorti que meilleur.

Note : 7 ,5 (73%)
Difficulté : 7 (73%)

par Milos

critique de Sombrecoeur :
  (cliquer sur le dé pour lire la suite) :
Après un très très bon livre qui se voulait glauque, et qui se déroulait dans un lugubre Château, Dave Morris (accompagné Oliver Johnson) nous fait visiter cette fois-ci une jungle, puis les profondeurs obscurs d'un Temple oublié, lieu du Dieu des Flammes Katak. Continuant dans la même lignée que Le Tombeau du vampire, Morris nous gratifie d'une très bonne histoire (toujours en partant d'une trame conventionnelle) et c'est avec un réel plaisir que nous suivons cette histoire avec intérêt. La façon d'écrire est toujours aussi bonne, et la narration suit parfaitement (j'entends par-là qu'aucune incohérence se glisse dans le texte) En bref, Morris sait raconter une histoire, ceci est certain.

Même s'il y a moins de passages prenants que dans le premier livre, plusieurs scènes viendront titiller votre imagination. La meilleure est sans hésiter vers la fin du livre, où une barque, dirigée par un être encapuchonné, apparaît pour vous transporter de l'autre côté de la rive d'où vous vous tenez. Et l'image qui va avec est enchantant… Comme la plupart des autres illustrations, qui aident grandement à l'ambiance générale du livre (d'autres scènes reviennent en mémoire, comme par exemple la salle d'eau avec la statue, le début dans la jungle, plus d'autres passages que je ne puis vous raconter, de peur de vous faire choisir le mauvais choix. Je me comprends en disant ça) Ambiance tout aussi prenante que celle du Tombeau du Vampire. C'est sans problème qu'on s'immerge dans les sombres dédales. Morris s'en sort plutôt bien, et même si une grande majorité de l'aventure se déroule à l'intérieur, le sentiment de lassitude n'atteint jamais le lecteur. Nous avons le droit à nos lots de salles, de pièges, et de monstres. Et en plus de ça, il arrive parfois de rencontrer l'ennemi du livre, l'un de nos anciens camarades qui nous avait trahis lors d'une précédente mission. Il nous enverra à maintes reprises ses sbires, que nous devrons tuer propre en ordre. On ressent un peu plus le danger qui nous entoure, mais nous sommes encore loin de la dangerosité de la Légende de Zagor ou du Crépuscule des Maîtres. La trame est moins linéaire que le premier opus, mais les chemins nous mèneront toujours à la même place. Au niveau de la difficulté, celle-ci est plus élevée, non seulement parce que les combats sont plus nombreux, mais il vous faudra avoir des objets bien définis, et suivre le bon chemin, si vous voulez avoir des chances d'arriver à la fin. Et je suis prêt à parier que, pour ceux qui commenceraient cette aventure, échoueront la première fois à coup sûr. Juste avant, je parlais de la fin, et contrairement au Tombeau du Vampire, cette fois-ci, le combat final tient un peu plus ses promesses. Domonotor, votre allié déchu, vous donnera, au début, du fil à retordre, et il y aura de fortes chances que vous y laissiez la vie. La durée de vie est un peu plus longue que le premier, mais reste quand même un peut trop court (bon, il ne faut pas oublier que le livre se tient sur seulement 300 paragraphes!)

En résumé, un très bon livre dans la continuité du premier tome, et même s'il est un peu en dessous du premier au niveau du contenu (il y a moins de passages mémorables, plus difficile car il faut trouver les bons objets et le bon chemin) le Dieu Perdu reste un très bon tome, qui vous ravira sans problème (bien mieux qu'une partie des Défis Fantastiques) L'ambiance est toujours présente, renforcée par de bonnes illustrations. Mais attention, les combats sont plus nombreux, et si vous ne mettez pas la main sur le seul moyen de vous guérir, il y a peu de chance pour que vous en sortiez vivants.

Ma note: 8/10
Difficulté: 8/10

par Sombrecoeur

notes :
(cliquer sur le dé pour tout voir) :
-les trois premiers volumes contiennent une pub pour la magazines Piranha, au centre (dans la première édition)

-au japon, le volume 3 est paru en deuxième, et le volume 2 en troisième.

 
(cliquer sur le dé pour voir les commentaires de traduction du livre)
commentaires de traduction :
les erreurs de traductions graves (mieux vaut en rire )
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les erreurs de traductions diverses : mots manquant ou en trop, mot traduit par un synonyme inadapté...
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les erreurs de traductions du au manque de connaissance du traducteur en matière d'heroïc fantasy
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les adaptations...transformer un nom propre (personnage, ville,...) qui n'a aucun sens en vo, par un autre nom 
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intro
Domontor
Damontir
Il est vrai que le mot Domontor sonne plus "maléfique"
en français.(par Dagonides)
160
Attila Fatum Sulsa Doom
Il est vrai que le mot latin fatum a le même sens que le
mot anglais doom, c'est-à-dire « destin, fatalité ».(par Dagonides)
enfin, il y a les adaptations judicieuses. lorqu'une traduction litterale ne conviendrais pas pour diverses raisons
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