titre :
L'Oeil du dragon |
auteur
: Dave Morris
|
dédicace de Dave Morris |
titre
original : The Eye of the dragon
traducteur
: Lola Tranec Dubled |
editeur
/collection : Gallimard
Folio Junior n 392
dragon d'or n 6
pour
la vo :
(Granada/ golden dragon fantasy gamebooks n 4) |
illustrateur
couverture : Bruno
Elettori
illustrateur
intérieur : Russ
nicholson
( vf 16 / 26 vo)
-par rapport a la vo il nous manque les illustrations suivantes : 1 (la 1 dans vf provient en fait de l'intro dans la vo) 36, 74, 120, 144, 168, 192, 204,
240, 264
|
code
barre :
édition de 1987-1991
: 9782070333929
édition de 2001-2005
: 9782070546022
isbn
:
édition de 1987-1991
: 2 07 033392 2
édition de 2001-2005
: 2 07 054602 0 |
régles
du jeu : oui
|
nombre
de sections : 310
|
cote
(édition de 1987-1991)
:
-vendu 1,50 € le 8/12/13 sur Ebay
-vendu 2,55 € le 11/11/13 sur Ebay
-vendu 1 € le 03/04/10 sur Ebay
-vendu 1,90 € le 08/06/06
sur Ebay
|
cote
(édition
de 2001-2005) :
|
errata
:
-l'illustration 12 illustre en fait le 11.
par Jeveutout
|
errata
:
-au § 299
remplacer "rendez-vous au 233" par
"rendez-vous au
223"
par JFM et Balthus
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VOTRE critique :
n'hesitez pas à
m'envoyer votre avis sur le livre, je l'ajouterais au site avec
plaisir, avec votre nom, prénom ou pseudo.
mais attention à
ne pas trop dévoiler l'histoire ! |
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résumé
:
Une mission de tout repos !... C'est ce que vous avez pensé
lorsqu'il vous a été proposé de vous mettre
à la recherche de l'oeil du dragon, un fabuleux talisman
caché dans la cité engloutie de Thalios. Mais vous
déchantez vite en franchissant les portes de la ville : les
kappas, des créatures venues du fond de l'océan, vous y
ont précédé. Et vous aurez besoin de tous vos
pouvoirs de maître en haute magie pour déjouer leurs
pièges et échapper aux dangers qui vous guettent dans la
cité en ruine.
Deux dés, un crayon
et une gomme
sont les seuls accessoires dont vous aurez besoin pour vivre cette
aventure.VOUS seul déciderez de la route à suivre, des
risques à courir et des créatures à combattre.
Bonne chance...
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critique
de Sombrecoeur :
( cliquer sur le
dé pour lire la suite) :
Nous
voici au 6ème tome de la série Dragon d'Or, et je dois
dire que celui-ci doit être le meilleur, légèrement
au-dessus du Tombeau du vampire. L'histoire
est on ne peut plus simple (ce qui est récurrent à la
série) il suffit d'aller chercher un trésor dans une
cité engloutie. Il vous faudra également retrouvé
l'un de vos sages-archéologues qui vous attend bien sagement
dans la cité maudite. Rien qu'en lisant le synopsis, on sait
tout de suite que nous allons évoluer dans un registre
différent que celui qui compose la majorité de la
série (entendez par là une ambiance plus glauque et
lugubre)
Néanmoins, tout
ne sera pas rose durant votre trajet
dans cette ville en ruine qui n'est pas sans rappeler la mythique ville
de l'Atlantide, et même si le danger ne survient pas à
chaque coin de rue, vous aurez quand même l'impression
d'être au milieu d'un quelconque danger. Mais le plus gros
changement de ce livre par rapport aux autres, et sa difficulté
relativement élevée. Je ne parle pas des combats qui sont
gérables (et qui peuvent être éviter, par fois,
à l'aide de sorts magiques que je vais parler un peu plus tad)
mais par la structure du livre lui-même. Trouver le bon chemin
lors de la première lecture est presque impossible, j'entends
par-là qu'il faut s'enfuir à un certain moment au lieu de
se battre, et qu'il faut passer devant un bâtiment sans le
visiter, car cela pourra influencer le déroulement de
l'aventure. Pour ma part, il m'a fallu trois tentatives pour
dénicher le bon chemin. A noter également que,
contrairement à beaucoup de livres dont vous êtes le
héros, il y a plusieurs manières de terminer l'aventure.
Ici, on peut trouver qu'un seule objet qui nous permettra de nous
rendre à la fin du livre, mais qui sera ponctué par de
nombreux combats dont vous aurez peu de chance d'en sortir vivant. Et
la deuxième solution est de trouver les éléments
essentiels pour arriver à la fin sans trop de dommage. L'autre
particularité du livre est la liste des sorts à
disposition. Ils sont au nombre de douze, et coup de maître de
l'auteur, si vous choisissez le bon chemin, vous devrez tous les
utiliser! En voilà une bonne idée, et une bonne nouvelle!
Cela change de ces livres où nous possédons une
quantité de sorts alors que nous en utilisons à peine une
moitié. Ceci étant dit, je vais parler des moments forts.
Le début est très bon, la scène avec les gardes
qui nous NEWSlent nous met tout de suite dans le vif du sujet, et
à partir de là, on sent directement que cela ne va pas
être une partie de plaisir. Le passage avec le mendiant est un
assez mystérieux, et la visite du Palais des Enigmes (je ne suis
pas sûr que ce soit un palais) donne froid dans le dos, et est
vraiment très bien décrite. La fin est très bien
trouvée également. Toutefois, je ne dirais pas que ce
bouquin est truffé de scènes incroyables, à
l'instar du Tombeau du Vampire, mais l'ensemble du récit est
bien ficelé, ce qui forme un tout. Et comme dit
précédement, la narration est très bonne et
fluide, on comprend tout de sutie ce que l'auteur veut dire, et
l'ambiance, comme à l'accoutumée, est très bien
retranscrite. Par contre, j'ai moins aimé les illustrations de Russ nicholson... ces dessins
vont
mieux pour les livres gentillets du style Le
Sorcier de la Montagne de feu, et la
Citadelle du Chaos (oui, pour moi ce sont des livres gentillets) je
me demande pourquoi ils n'ont pas gardé le même
dessinateur que pour le Tombeau du vampire.
Ce livre est semi linéaire, j'entends par-là qu'il existe
deux solutions pour mener à bien la mission, mais vous
évoluerez toujous dans les mêmes lieux.
En résumé, le meilleur de la série, après
mûr réflexion. Pas qu'il soit mieux niveau
intérêt que le Tombeau du vampire,
mais il possède une plus grande durée de vie, plusieurs
chemins, une très bonne narration, une excellente ambiance de
cité en ruine qui est tout droit sorti de l'univers de
l'atlantide (légende que j'affectionne particulièrement)
une liste de sorts qui nous est utile tout au long du livre. Même
si l'ouvrage ne possède pas des passages mémorables,
l'ensemble du livre reste très bon, et plusieurs adversaires
relativement coriace se dresseront sur notre chemin. La
difficulté est la plus ardue des 6 livres, car non seulement il
faut trouver le bon chemin, mais les bons objets qui vont avec! Dommage
qu'il y ait ces règles de combats, avec elles des Défis
Fantastiques, L'Oeil du Dragon aurait eu encore une meilleure note!
Ma note: 9/10
Difficulté: 8.5/10
par Sombrecoeur
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critique
d'Aragorn :
( cliquer sur le
dé pour lire la suite) :
L'Oeil du Dragon est le premier livre de la série Dragon d'Or
que j'ai fait. Pour parler de la série en général,
je trouve que les règles sont un peu trop simpliste et je
préfère largement celles des Défis Fantastiques.
Mais commençons la lecture de ce volume. En plus des
règles communes à la série, l'auteur nous propose
une série de douze sorts, ce qui rajoute de intérêt
à l'histoire un peu simpliste (trouver un talisman dans une
ville engloutie envahie par des vilains monstres marins). Je tiens
à préciser qu'à part à la fin, ces derniers
son assez peu présents.
L'aventure est distrayante
et correctement écrite tandis que les sorts, si vous en faites
bon usage, vous permettront d'éviter bon nombre de combats. Mais
la difficulté consiste à trouver le chemin qui vous
permettra de trouver les objets indispensables à la victoire. Il
existe tout de même une route en parallèle grâce
à laquelle vous pourrez aussi finir le livre mais elle est quand
même difficile à trouver. Selon les choix que vous faites
vous pouvez parvenir au prologue final en quinze paragraphes
(évidemment, vous n'avez pas le matériel indispensable
pour continuer).
La fin est excellente (le combat final se déroule en haut d'une
pyramide, cernée par des centaines de Kappas) même si elle
est classique.
Tout cela en fait un livre sympathique, certes traditionnel, mais qui
vous procurera un bon divertissement.
Note : 7/10
Difficulté : 7/10
par Aragorn
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notes :
( cliquer sur le
dé pour tout voir) :
-les trois premiers volumes contiennent une pub pour la magazines Piranha, au centre (dans la
première édition)
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