titre :
La Malédiction du pharaon |
auteur
: Oliver Johnson |
titre
original : Curse of the pharaoh
traducteur
: Laura Pitch |
editeur
/collection : Gallimard
Folio Junior n 333
dragon d'or n 4
pour
la vo :
(Granada/ golden dragon fantasy gamebooks n 5) |
illustrateur
couverture : Bruno
Elettori
illustrateur
intérieur : Mark Dunn
( vf 18 / 19 vo)
-par
rapport à la vo, il nous manque l' illustration : 209.
(l'illustration 297 est
à l'envers)
|
code
barre :
édition de 1986-1988
: 9782070333332
édition de 2000-2003
: 9782070544042
isbn
:
édition de 1986-1988
: 2 07 033333 7
édition de 2000-2003
: 2 07 054404 4 |
régles
du jeu : oui
|
nombre
de sections : 301
|
cote
(édition de 1986-1988)
:
-vendu 1,50 € le 2/12/13 sur Ebay
-vendu 3,32 € le 20/11/13 sur
Ebay
-vendu 0,90 € le 19/11/13
sur Ebay
-vendu 0,90 € le 1/11/13
sur Ebay
-vendu 1 €
le 11/05/06 sur Ebay
-vendu 1,99 € le 17/04/06 sur Ebay
-vendu 1,99 € le 09/03/06 sur Ebay
|
errata
:
-dans la seconde édition sans logo (novembre 2000)
au dos du livre, dans la fin du résumé, il est question
de table de
hasard.Ce morceau vient donc probablement de la série Loup Solitaire...
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VOTRE critique :
n'hesitez pas à
m'envoyer votre avis sur le livre, je l'ajouterais au site avec
plaisir, avec votre nom, prénom ou pseudo.
mais attention à
ne pas trop dévoiler l'histoire ! |
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résumé
:
Enfoui sous les sables brûlants du désert de Khem, se
trouve le tombeau du grand pharaon Kar-Thot. D'immense richesses
attendent celle, ou celui, qui les découvrira. Vous savez
que nombreux sont ceux qui ont perdu la vie - sinon la raison - en
tentant cette quête. Mais ce n'est pas cela qui vous
empêchera de vous lancer, à votre tour, dans l'aventure.
Cependant, si vous arrivez à déjouer les traîtrises
de la ville d'Arksor, à vaincre le terrible désert de
Khem, à trouver le bon chemin menant à la chambre
funéraire, dans la pyramide de Kar-Thot, saurez-vous
échapper à la malédiction du pharaon ?
Deux dés, un crayon
et une gomme
sont les seuls accessoires dont vous aurez besoin pour vivre cette
aventure.VOUS seul déciderez de la route à suivre, des
risques à courir et des créatures à combattre.
Bonne chance...
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critique
de Fitz :
( cliquer sur le
dé pour lire la suite) :
Un LVH destiné à séduire les amateurs de Christian
Jacq : contrée désertique, femmes et assassins
voilés, serpents, malédictions, pyramides, sphinxs,
chaleur, soif, mystères orientaux et pièges vicieux. Tous
ces éléments et bien d'autres poncifs de
l'égyptologie sont réunis dans cette histoire et on ne
peut donc pas dire que l'ambiance soit loupée.
On
joue un homme du nord venu dans cette région exotique pour y
trouver une tablette mystérieuse. Mais même en relisant
l'intro, je n'ai pas vraiment compris ce qui nous pousse à
tenter une telle aventure, ce n'est même pas vraiment
l'appât du gain. Le héros est-il un antiquaire amateur?
C'est un peu le défaut de tous les Dragon d'Or : malgré
un style correct, une intro et des paragraphes plutôt longs, on
ne sait pas grand chose du passé du héros ni du pays dans
lequel il évolue. Le cadre est flou et les motivations obscures.
Le but est de trouver un tombeau oublié dans le désert et
l'on dispose de plusieurs façons pour y parvenir. Par contre, la
partie dans les souterrains est finalement plutôt courte. J'aurai
presque préféré un labyrinthe
à la Sukumvit tant j'ai été déçu
de ne pas avoir eu à tracer de carte pour m'y repérer^^.
Malgré ça, il ne faut pas croire que ce livre est facile.
En fait, il s'agit presque d'un one-true-path.
Du fait des règles Dragon d'Or qui rendent les combats presque
toujours affaiblissants, il faut chercher le chemin qui exigera le
moins possible d'avoir de la chance pendant les combats, cause
principale de fin d'aventure. Les pièges sont très
nombreux mais plutôt faciles à éviter. Surtout, il
y a le "combat final". Pour avoir des chances raisonnables de le
gagner, il faut découvrir un objet bien précis. Et il n'y
a qu'un seul chemin pour le trouver.
Cette aventure à la Indiana Jones m'a globalement
déçu. J'aime bien les livres de la série Dragon
d'Or mais celui-ci est sans doute celui que j'ai le moins
apprécié. La faute peut-être à cette
exploration un peu courte mais surtout à l'absence de faits
marquants ou originaux.
Mérite le coup d'oeil pour son ambiance mais à ce niveau,
je préfère dans un tout autre genre Terreur
hors du temps de la série les Portes Interdites.
par Fitz
|
critique
de Sombrecoeur :
( cliquer sur le
dé pour lire la suite) :
En route pour cette
4ème mission, qui plus dans le sillage du Dieu
perdu. Quittons
les contrées lugubres du Seigneur de
l'ombre, pour nous rendre
dans le désert aride, à la recherche du tombeau du grand
Pharaon Kar-Thot. (Note personnelle: ce livre a été le
premier de cette série que j'avais en ma possession) Si je dis
que la Malédiction du Pharaon est plus proche du Dieu perdu,
c'est parce que nous devons rechercher un tombeau qui appartient
à une illustre personne.
Moi qui suit un
fervant de l'Egypte, je
ne pouvais être que satisfait de vivre une aventure qui se
déroule dans un désert, peuplé de monstres et de
nomades. Malheureusement, et c'est le coeur serré, je dois dire
que ce tome est (de loin) le moins bon de la série.Ce n'est pas
du côté de l'ambiance qui s'en dégage, car, comme
d'habitude, elle est magique (la traversée du désert est
très bien rendue, de même que la bourgade du début
de livre) ni du côté des illustrations (même si
elles sont quand même en dessous des autres jusqu'à
présent) mais tout simplement parce qu'il n'y a quasiment aucun
moment mémorable. Comme je l'ai dit, peut-être la
traversée du désert qui est très bien
décrite, mais une fois dans le tombeau, il n'y a pas grand
chose. J'ai beau cherché, aucune scène ne sort du lot.
Peut-être celle avec les statues, ou, dans une moindre mesure la
rencontre avec le "boss" de fin, mais sinon... Je crois que le meilleur
passage reste la fin, c'est-à-dire le dernier paragraphe qui, je
l'avoue, n'est pas mal du tout. Pourtant, ce livre ne referme pas que
des défauts. C'est le moins linéaire jusqu'à
présent. En effet, si vous emprunter un chemin autre que le
chemin principal, vous pouvez clore le livre assez rapidement. Ensuite,
lors d'une deuxième relecture, vous aurez tout le loisir
d'emprunter le chemin principal (ou encore un autre chemin
parallèle) Evidemment, le fait de prendre ces seconds chemins
rend l'aventure beaucoup plus courte, alors que question durée
de vie, on est (très) loin d'un Revanche
du vampire! Mais ceci,
c'est au bon vouloir du lecteur. En ce qui concerne la
difficulté, il y en a presque aucune. De part parce que les
ennemis à combattre seront relativement rare, et d'autres parts
car les objets qui vous seront utiles se trouveront presque à
coup sûr sur votre chemin, pas de risque de passer à
côter! Néanmoins, il faudra quand même faire aller
votre jugeotte. Oliver Johnson
sait
vire et raconter son aventure, mais
il ne possède pas la même imagination et les mêmes
bonnes idées que son comparse Morris.
En résumé, la seule déception de la série,
qui avait, pourtant, un gros potentiel. Le livre aurait pu être
mis plus en valeur, et être plus élaboré. Mais
l'auteur était peut-être en panne, voire en manque,
d'inspiration pour son oeuvre. Pas grand chose à se mettre sous
la dent dans ce Malédiction du Pharaon, si ce n'est la bonne
ambiance qui s'en dégage, et les illustrations qui vont bien
avec. Et comme d'habitude, le style écrit est très bon. Johnson, avec son Seigneur de l'ombre, avait pondu un excellent
tome,
mais est retombé beaucoup plus bas avec ce deuxième
livre. Avait-il épuisé toutes ses idées?
Ma note: 7/10
Difficulté: 6/10
par Sombrecoeur
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