titre :
Le Manuscrit mystérieux |
auteur
: Pierre Clequin |
editeur
/collection : Presses Pocket n 4005
Soyez le héros...des livres à remonter le temps n 5
Histoires à jouer |
illustrateur
couverture: Laverdet
illustrateur
intérieur : ?
(13 vf ) + pleins de petits "jeux" |
code
barre: 9782266017824
isbn
: 2 266 01782 9 |
régles
du jeu : oui
dés imprimés en bas de pages |
nombre
de sections : 217
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cote :
-vendu 1 € le 4/11/13 sur
Ebay
-vendu 3,50 € le 02/06/06
sur
Ebay
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VOTRE critique :
n'hesitez pas à
m'envoyer votre avis sur le livre, je l'ajouterais au site avec
plaisir, avec votre nom, prénom ou pseudo.
mais attention à
ne pas trop dévoiler l'histoire ! |
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résumé
:
LES LIVRES A REMONTER LE
TEMPS
OUVREZ, LISEZ ET JOUEZ
XIII siècle : la
conquête du Languedoc
Le Manuscrit mystérieux
1240. Alors que les derniers princes occitans se révoltent
contre les chevaliers du roi de France, le baron Simon de Coquis donne
une grande fête au château de Saissac...C'est là que
vous, jeune seigneur occitan, allez retrouver votre ancien ami, Pons,
le troubadour, qui, menacé par l'inquisition, vous implore de
l'aider pour mener à bien une mystérieuse mission.
pour jouer avec les
livres de la collection histoires
à jouer, il vous
suffit d'un crayon, d'une gomme et d'un dés. Equipement
nécessaire pour partir à l'aventure.
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et sur les
autres sites ?
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critique
de Fitz :
( cliquer sur le
dé pour lire la suite) :
Ce tome de la série des Livres à remonter le temps n'est
pas écrit par le binôme fondateur CAYLA - PECAU mais par un certain
Pierre
CLEQUIN. Même si celui-ci respecte très bien l'esprit de
cette série française avec les mêmes règles
et toujours les fameux mini-jeux, il ne s'en démarque pas moins
des autres. Je le trouve personnellement plus réussi, d'une
qualité supérieure à la moyenne.
Nous
y interprétons un jeune noble toulousain au XIIIème
siècle, dans l'époque troublée où la grande
Inquisition traquait dans le sud de la France les partisans
hérétiques qui cherchaient entre autres à soulever
les provinces catalanes et le Languedoc contre l'occupation du royaume
de France. L'originalité de ce rôle vient du fait que l'on
est au départ neutre, si ce n'est qu'un de nos amis fait partie
des "hérétiques" et qu'il va nous entraîner dans la
quête d'un manuscrit historique recherché à la fois
par l'Inquisition et le parti rebelle. On bénéficie d'une
vraie liberté d'action car il est possible d'accomplir cette
mission pour l'une des deux factions et d'emprunter des chemins
différents pour la réussir. Au terme de l'aventure, il
existe donc plusieurs fins "victorieuses". Mais cette
originalité concerne aussi les PFA. Là où la
plupart des échecs dans les LDVELH se soldent par la mort, on
peut par exemple terminer son aventure par un paragraphe où on
nous demande de lancer un dé. Selon le résultat, on
pourra terminer sa vie en esclave, rentrer chez nous après vingt
ans d'emprisonnement, oublier sa mission et finir heureux sa vie en
compagnie d'une petite femme trouvé en terre cathare, etc...
J'ai trouvé ces détails très amusants et motivants
pour le plaisir des relectures.
L'aventure est de plus pas mal écrite du tout et
bénéficie d'une bonne jouabilité. Les quelques
mini-jeux sont ici plus plaisants que ceux rencontrés dans les
tomes précédents (sauf le combat dans l'arène), on
tombe sur plusieurs énigmes tout aussi intéressantes, la
difficulté est bien dosée et les situations sont toujours
considérées sous l'angle le plus réaliste possible
avec entre autres une bonne gestion de l'argent.
Les défauts sont sa brièveté (comme d'habitude
pour cette série) et des rencontres guère originales, qui
restent dans la lignée des récits d'aventures
médiévales classiques, faisant un peu penser à la
BD "Les Aigles Décapités".
Un bon LDVELH en somme.
par Fitz
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notes :
( cliquer sur le
dé pour tout voir) :
-les volumes 1 à 16 sont paru chez Presses Pocket et les volumes
17 à 20 chez Livre de Poche.
-un sondage a
été proposé, dans tous les volumes de la
collection Presses Pocket sauf le 1, 2, 3, 6 et 16 (voir L'Or du pharaon)
-l'illustrateur intérieur n'est pas indiqué
-Pierre Clequin n'a écrit qu'un seul ldvelh
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