Le labyrinthe de la mort !

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J'ai testé pour vous.. l'épreuuuuuve des chaaaaampions.
Disons que c'est un bon livre, sérieux, classique, mais sans surprise.
Comme indiqué dans l'introduction, c'est tout-à-fait la suite du labyrinthe de la mort. On retrouve le contexte, la ville, le baron organisateur.  On retrouve également les  "Allez-vous à l'Ouest ou à l'Est ?"  "Entrez vous  dans la salle ou passez-vous  votre chemin ?".

Avec une petite nouveauté : Le frère du baron qui a construit le labyrinthe, vous a capturé et vous fait passer des épreuves dignes des jeux du cirque romain, avant d'affronter le labyrinthe.
Ce passage n'est pas forcément une bonne idée, parce qu'une fois qu'il est passé avec succès, on a guère envie de re-passer par là, avant d'atteindre le labyrinthe, lors d'autres tentatives pour terminer l'aventure. C'est en effet hyper-séquentiel, avec toujours les 3 ou 4 mêmes adversaires...
Bref, le labyrinthe est aussi tordu que son prédécesseur (le labyrinthe de la mort). On ne s'ennuie pas. Des objets trouvés permettent d'en trouver de nouveaux.
J'ai essayé 3 fois et échoué autant de fois... snifff.
Un truc original. Je me suis retrouvé face à une sirène. J'ai été attiré par son chant, et ai nagé vers elle. Une pieuvre m'a alors saisi et attiré vers le fond. Il faut dès lors tester son habilité. Ceci a été positif, j'ai pu remonter à la surface, pour être à nouveau hypnotisé par la sirène... et mourir. Je n'ai pas pu m'empêcher de voir s'il y a un moyen de s'en sortir (pour mon prochain essai). Hé bien, il faut que le test d'habileté soit négatif !! En effet, si on est entraîné au fond, on entend plus la sirène, on parvient à se dépêtrer de la pieuvre puis contourner la sirène...

Intérêt : 7/10
Difficulté : 7/10
Niki

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**** Attention, je révèle quelques points importants que le futur lecteur de ce livre devrait ne pas connaître. Vous êtes prévenus.

Pour faire une histoire courte, l’aventure nous amène dans un labyrinthe (Le Labyrinthe de la mort). Nous sommes l’un des concurrents qui doivent réussir à sortir vivant du labyrinthe pour ainsi toucher le prix en or (20 000$). C’est un concours où tous les gens peuvent se porter volontaire. Cependant, nous, nous sommes forcés d’y participer. Finalement, c’est comme une arène de gladiateur sauf que là, c’est un labyrinthe à la place.
J’ai été assez déçu par ce livre. Le premier élément négatif que j’ai remarqué est le manque de description. Ce manque de description diminue l’ambiance et l’atmosphère. Bref, je me suis ennuyé un peu.

Il semble que Livingstone semble consacrer ses efforts ailleurs que sur la narration. En plus, l’aventure se passe dans un labyrinthe. Je commence à être tanné des labyrinthes (donjon, souterrain, etc.) de Livingstone. C’est toujours la même chose : on se promène, nous pouvons ouvrir la porte de gauche ou bien celle de droite. Quand il y a un bonus dans l’une des portes, il y a généralement un malus dans l’autre. Le malus va être un combat inutile, une perte de E ou de H ou carrément la mort. Je trouve ce concept tellement simple. C’est la voix de la facilité quand on veut écrire un ldvelh facilement et lorsqu’on n’a pas d’histoire qui se tient. Il suffit de placer des corridors (pas trop pour que ça soit simple) et des portes aux hasard. Ensuite, on invente n’importe quelles situations, bonnes et mauvaises, qu’on associe à des chambres et on continue ainsi de suite jusqu’à temps qu’on arrive à un bon nombre de paragraphes (400, dans ce cas ci c’est trop, ça oblige l’auteur à essayer n’importe quoi juste pour atteindre le 400). Les différentes situations semblent s’insérer spontanément plus que logiquement. C’est finalement, plus un puzzle qu’un livre. En tout cas, je ne veux pas critiquer tous les labyrinthes, mais celui-ci semble avoir été écrit de cette façon. Les situations rencontrées ne comportent pas de logique entre elles, sauf quand il y a un objet indispensable pour une situation future. Il semble aussi que les situations doivent toujours être totalement différentes les unes des autres. Pourquoi? Pour ne pas ennuyer le lecteur? Moi, je trouve que ça oblige l’auteur à finir par insérer n’importe quoi, que ça fasse du sens ou non, seulement pour ne pas se répéter. Donc, il y a tout dans ce livre, même si c’est loufoque (mais ça c’est un défaut général dans les ldvelh). Ce One-True-Path nous incite, lorsqu’on meurt, à sauter d’un paragraphe à l’autre sans lire le texte. L’ambiance puzzle prend toute son ampleur. Ensuite, l’idée de la triche vient nous hanter. On finit par vouloir terminer le livre juste par principe et non par goût. Et lorsqu’on triche une fois, on est tenté de tricher une seconde fois…Ainsi de suite, le désir de la triche s’installe en nous.

À un certain moment donné, il y a une tornade qui nous passe sur le corps. Franchement, si seulement nous étions dehors! Non, nous sommes dans un petit tunnel sous-terrain de quelques mètres de diamètre. Comment peut-il y avoir une tornade? Si au moins on apprenait par la suite que c’est un puissant sorcier qui a fait une magie. Même pas! Ce n’était qu’une simple tornade, probablement causée par une trop grande ventilation dans le labyrinthe! Même en 2006, les systèmes de ventilation ne sont pas aussi performants. Il me semble que j’aurais préféré avoir quelque chose de plus réaliste. Cependant, la règle de toujours mettre quelque chose de différent devait s’appliquer. Et ça, même quand la situation nouvelle est mauvaise, exagérée ou hors contexte. Cette tornade n’était qu’un exemple parmi d’autres.
   
J’aime bien le fantastique, sauf qu’il faut nuancer le fantastique du surnaturel. Trop c’est trop! Voir des créatures comme des trolls, des zombies, des sorcières, des nains ou des elfes ça me va! Et oui, ces créatures font partie du monde standard du fantastique. Par contre, à un moment nous pouvons rencontrer un Monstre de l’Illusion qui donne l’apparence d’être un trésor d’une richesse incomparable. Ensuite, le seul choix qui nous reste, c’est la mort : quand on voit le trésor, on s’en approche et du coup il nous mange avec ses grandes dents. En plus, d’être complètement invraisemblable, l’auteur ne nous donne aucune fuite. Le point est que je me crois dans un monde où cette créature n’existe pas. Du coup, il me semble que si j’étais vraiment le héros et que je savais que ce genre de créature existe dans ce monde, j’aurais un énorme (pour ne pas dire monstrueux) doute sur les chances de trouver un authentique trésor ($$$$) dans un labyrinthe qui ne veut que ma mort. L’auteur, aurait du écrire : «vos yeux n’en crois rien, c’est trop beau, peut-être trop beau. Il est possible que ce trésor soit un Monstre de l’Illusion. Allez-vous prendre le risque…». De cette façon, l’auteur nous explique que cette créature existe. On peut alors s’en méfier, éviter de mourir bêtement, une fois de plus. En parlant de la mort, il semble que ce Livingstonien n’échappe pas à ses prédécesseurs. En effet, la mort surgit de n’importe où. Si ce n’est pas un ennemi aux capacités exagérées qui nous tue, ce sera une mort subite totalement imprévisible qui s’en chargera. Évidement, c’est One-True-Path et il nous faut une quantité effrayante d’objets pour avoir une chance de s’en sortir. Revenons à nos situations surnaturelles : nous entrons dans une pièce, mais sans le savoir cette dernière est une chambre de télé-portation. Nous ressortons de la pièce sans comprendre pour quoi elle est vide et nous ne savons pas que nous avons été télé-porté. Pourtant, nous ne pouvons pas faire semblant que nous ne le savons pas puisque l’auteur nous l’informe. Nos choix futurs seront inévitablement influencés, mais ça c’est un autre problème. Pour moi, une chambre de télé-portation, ça sort du fantastique. C’est exagéré. Quelle est la technologie (car ce n’est pas une magie) qui permet au contenu en entier d’une pièce de se télé-porter dans une autre pièce. Franchement, j’essaie de me mettre dans la peau du héros pour vivre pleinement l’aventure mais j’en suis incapable quand je lis ça. Les murs de la pièce sont en pierre et la porte est probablement en planche de bois! L’auteur aurait pu concocter une situation beaucoup plus songée et captivante. Au lieu de ça, il prend la voix de la facilité et nous pond une situation de deux phrases qui nous rappelle plus le domaine de la science fiction. Forcément, je ne peux que me distancer du livre. Comme vous avez vu, pour moi l’histoire d’un ldvelh doit demeurer vraisemblable. Ce critère ne veut pas dire qu’un livre qui se passe dans un monde fantastique est mauvais. Comme dit plus haut, j’accepte sans problème, les trolls, la magie, les vampires, etc. Le livre peut être vraisemblable et à la fois fantastique. Voici mon point : (certains trouveront peut-être que j’exagère cependant, je suis comme cela) à de nombreuses reprises nous découvrons dans le labyrinthe des pièces où il n’y a qu’un bol de fruit. À chaque fois la nourriture est bonne et permet d’augmenter notre E. Étant donné qu’il y a plusieurs autres concurrents (nous en rencontrons plusieurs tout au long du labyrinthe), je suis étonné que nous ne rencontrons aucun bol vide. C’est invraisemblable pour moi car certains concurrents rencontrés ont forcément passé par le même chemin et il est peu probable que personne se soit servit. C’est un détail minuscule, mais ça m’agace pareil. Il aurait été préférable de rencontrer un bol vide et pouvoir s’interroger à savoir si les autres concurrents sont toujours vivants et s’il y en à un dans les environs. Comme ça c’est plus vraisemblable, en plus ça nous fait réfléchir et ça met un peu de dynamisme…ça nous rappelle que nous ne sommes pas seul dans ce maudit labyrinthe. Selon la même idée, il est vraisemblable que des concurrents aient dû combattre des créatures pour ce rendre aussi profond dans le labyrinthe. Pourtant il n’y a pas le moindre cadavre de créature. Putain, ces créatures n’attaquent que moi? Ces petits détails sont tellement simples et si importants pour l’atmosphère et l’ambiance. Il me semble que j’accrocherais déjà beaucoup plus si ce n’était pas de ça.

Les quelques points positifs du livre sont les épreuves du début de l’aventure (très original, mais manque encore là de description), la trouvaille des nombreux codes (original et captivant puisque nous n’en connaissons pas l’intérêt) et la rencontre avec le petit humanoïde et les autres concurrents. La jouabilité est assez bonne, les choix du joueur sont nombreux. Autrement dit, ceux pour qui le réalisme et l’histoire importent peu vont apprécier ce ldvelh car le One-True-Path a le mérite de nous forcer à analyser, à  étudier et à s’impliquer dans le livre.
   
Bref, je fais une critique très sévère de ce livre, malgré que certains amateurs l’adorent. J’espère ne pas trop en offusquer. Peut-être que j’étais dans une mauvaise passe durant la lecture! Je ne sais pas? En tout cas, tant que je n’aurai pas relu ce livre je penserai comme tel : livre pauvre en description qui ressemble beaucoup plus à un genre de puzzle puisqu’il manque d’ambiance et qu’il est beaucoup trop simple dans son histoire et son concept. Ce n’est pas comme tel la gravité des points négatifs qui m’énerve, c’est aussi la quantité.

Intérêt : 5/10
Difficulté : 9/10

Par Ajaxsenal

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L'épreuve des champions fait suite au très célèbre Labyrinthe de la mort du même auteur. Livingstone prenait donc l'énorme risque de pondre un navet comme suite à son meilleur livre. J'attendais néanmoins beaucoup de ce bouquin....et je ne fus pas déçu! Car le livre atteint vraiment toutes mes espérances.
Comme je l'ai dit, c'est vraiment un remake du Labyrinthe de la mort : on retrouve Fang, le baron Sukumvit et une ambiance déjà bien connue.
Avec une nouveauté différente: le frère de Sukumvit, Lord Carnuss vous a capturé en compagnie de 41 autres malchanceux pour accomplir une série d'épreuves dans son arène de la mort.

A l'issue de ces tâches, il ne restera plus qu'un survivant, qui représentera Lord Carnuss à Épreuve des Champions. Et si vous voulez être l'heureux gagnant, il va falloir vous accrocher car ces "sélections" sont une vraie boucherie. Les épreuves sont au nombre de 6 et sont plutôt originales et intéressantes (à la fin de la deuxième journée vous n'êtes plus que 2 en cellule et tous les captifs doivent s'entretuer jusqu'à ce qu'il n'y est plus qu'une personne par cellule. Plutôt pas mal; non?) mais toutefois très difficiles. Si vous tirez de mauvaise carac, vous avez bien peu de chance de survivre. Quant à moi, je suis mort 3 fois dans ces épreuves sans même voir le labyrinthe.
Lorsque vous vous en serez sorti vivant, vous participerez enfin à Épreuve elle-même. Le labyrinthe est aussi tordu que son prédécesseur et vous aurez encore une multitude d'objets à découvrir. les combats ne sont pas trop durs mis à part un ou deux ennemis coriaces mais vous avez intérêt à faire un bon plan pour vous en sortir.
L'aventure est longue, palpitante et les traquenards forts nombreux. Les objets sont parfois bien cachés et vous devrez sans nul doute recommencer plusieurs fois l'aventure avant d'en voir le bout. On retrouve les maîtres de Épreuve, les autres candidats que vous rencontrerez parfois...exactement comme dans le labyrinthe de la mort. La fin est excellente avec un ultime combat très imprévu contre Lord Carnuss afin de venger les morts de l'arène. Le fameux paragraphe 400 est court mais efficace, laissant présager la suite du livre, qui paraîtra sous le titre les sombres cohortes où on oublie définitivement le labyrinthe.
Un excellent livre dont vous êtes le héros. Je le mets à égalité avec le labyrinthe de la mort mais j'ai tout de même une petite préférence pour ce bouquin. A lire de toute urgence!
Note: 9/10
Difficulté: 8/10

par Aragorn

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Ian Livingstone revient en force pour un nouveau titre et non le moinde car il s'agit de la suite du fameux "Le Labyrinthe de la mort", connu par certains commes son meilleur livre. Et moi, je fais parti de ceux-là.
L'Epreuve des Champions est, pour moi, une très bonne suite digne de premier. Tout d'abord, le héros n'est cette fois pas volontaire mais est forcé d'y participer, mais pour ça, il doit prouver sa bravoure et sa force au combat en effectuant plusieurs épreuves dans une arène. Ce passage, le début, est vraiment formidable car les épreuves sont bien recherchées (notamment les combats où l'on se bat aveugle, le combat final contre l'Homme du Sud en ayant un poignard et un gant clouté comme arme) et vous réservera bien des surprises.

Par contre, ce qui est embêtant, si vous souhaitez recommencer l'aventure il faudra obligatoirement repasser par ce passage qui est toujours le même... cela pourra en rebouter plus d'un, moi pas.
Passons au labyrinthe à proprement parlé. Aussi tordu et dangereux (si ce n'est plus) que le premier. Il y a toujours son lot de créatues aussi puissantes que malfaisantes et les pièges aussi dangereux que sournois. Et évidemment, l'histoire est loin d'être linéaire et il faudra plusieurs tentatives pour parvenir à sortir vivant du ledit labyrinthe. Ah oui, il faudra trouver un certain nombre (dont je me tairai sur le nombre exacte) d'anneau d'or pour espérer voir le bout du tunnel.
Il est possible de rencontrer de temps à autre un autre participant mais cela est assez rapide, contrairement au premier (avec Throm)
En ce qui concerne la difficulté, si ce n'est de vous tromper de chemin, je ne l'ai pas trouvé particulièrement difficile au niveau de combat (certes, il y a toujours des adversaires redoutables mais dans l'ensemble...)
L'un de mes défis fantastiques préférés.
Ma note: 8.5/10
Difficulté: 7/10

Sombrecoeur

(cliquer sur le dé pour tout voir) :
-ce livre est la suite du Labyrinthe de la mort

-Il est fait référence au Labyrinthe de la mort également dans L'Ile du roi lézard

-il est fait référence au port du sable noir également dans La Cité des voleurs, Les Rôdeurs de la nuit, La Créature venue du chaos, l'Ile du roi lezard

-le livre a été adapté en RPG D20

-la réédition anglaise de 2010 à une grande nouveauté : elle propose de jouer des personnages pré-tiré, ainsi vous pourrez choisir d'être Arran Gottspeed, Baldar Liefsson ou Ariel Elfhart

-vous trouverez une publicité pour l'Epreuve des champions, ici

-l'illustration de la couverture est datée de 1985, ce qui signifie que le livre a été écrit (et illustré) en 1985, mais imprimé pour la première fois (en vo)  en 1986...
(par Marc-Olivier Chabot)

-en janvier 2014, les éditions Tin Man Games ont lancé un vote sur Facebook pour demander quels Defis fantastiques nous aimerions voir publier en applications, en dehors de ceux déjà sortis ou déjà prévu ( déjà sortie : L'Ile du Roi Lézard, Le Sang des zombis, Le Manoir de l'enfer, La Forêt de la malédiction et La Galaxie Tragique.  prévu : Le Sorcier de la Montagne de Feu, La Citadelle du Chaos, Rendez-vous avec la M.O.R.T., Le Labyrinthe de la mort, La Cité des voleurs et La Créature venue du chaos) il y a eu 561 votant, et 4 mois plus tard ils ont annoncé les 20 titres ayant eu le plus de votes. 1 (248 votes) L'Epreuve des champions - 2 (232 votes) Retour à la Montagne de Feu - 3 (221 votes) Le Talisman de la mort - 4 (216 votes) La Sorcière des neiges - 5 (208) Le Marais aux scorpions - 6 (196 votes) Le Temple de la terreur - 7 (192 votes) L'Epée du samouraï - 8 (186 votes) Le Combattant de l'autoroute - 9 (171 votes) Défis sanglants sur l'océan - 10 (161 votes) Le Vampire du château noir - 11 (141 votes) La Crypte du sorcier - 12 (134 votes) Le Mercenaire de l'espace - 13 (130 votes) La Nuit du loup-garou - 14 (127 votes) La Forteresse du Cauchemar - 15 (125 votes) Les Démons des profondeurs - 16 (124 votes) Les Sombres cohortes - 17 (115 votes) La Légende de Zagor - 18 (113 votes) La Grande menace des robots - 19 (111 votes) La Planète rebelle - 20 (107 votes) Les Rôdeurs de la nuit .